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Isabelle Fuhrman talks about her family's journey to The hunger games.
Long ago, way before Americans became inebriated with the dazzling heroines of this week’s box-office hit The Hunger Games, somewhere in a small town in the old Soviet Union, a 15-year old Elina Fuhrman spent a summer learning to assemble and handle a Kalashnikov while still keeping her makeup intact.
Now a style journalist in Los Angeles and the mother of rising star Isabelle Fuhrman, the knife wielding Clove in The Hunger Games, Elina sees some strange parallels between her life as a teenager in the USSR and that of her daughter’s character.
“My summer before high school was eerily similar to my daughter’s except that she was filming a movie and I was living a normal life, if you could call it normal,” said Fuhrman.
Watching her daughter take a leading role in the dystopian universe of The Hunger Games is a mind trip to Elina in some ways. The story inevitably reminds her of having to grow up quickly in order to escape the USSR in her late teens to live the American Dream.
The movie’s outline could sound like some sci-fi Bolshevik revisionist history. To the Fuhrman family, the truth hits home.
“In a strange way, the premise of The Hunger Games reminds me of the way things were in my country…the draft of young people, the pomposity of the government, the glitzy parades and outfits and the despair behind it all,” she said.
Though a celebrity teenager living the life of a rising star in LA, Isabelle clearly picks up on the the irony of it all.
“My mom grew up in the Soviet Union and wasn’t allowed to do certain things,” Isabelle said. “She danced when she was younger even though she wanted to play piano, and the reason she danced was because at that time children were picked based on their natural talent to learn a skill. For me, I got to choose, and I love that. I got to decide what I wanted to do, and my mom has been there by my side ever since."
Elinas’ experience through the USSR’s educational rigidity in the arts may have come in handy when raising her daughters in the free world of showbiz. Like Reagan’s message to Gorbachev in Berlin in 1987, she finds herself telling her girls, “tear down that wall,” metaphorically.
Teenage girls are known to create their own inner walls to achieve what they want. But not her daughters, who know of their mother’s journey from Communist Russia to American showbiz.
More worrisome is the cut-throat business of being a child in the world of entertainment, as former child celebrities have shown that the path to fame can leave some deep-rooted scars and emotional stress.
“I see myself as a facilitator and motivator, supporting Isabelle and Madeline emotionally and helping them navigate the adult world of film for Isabelle and music for Madeline,” said Elina.
“I was lucky to have a mother who always encouraged me, and when I would tell her I couldn’t so something, she would tell me, “If you can’t, then who will?”
That same motto has been shared with Isabelle who, critics say, has shown great maturity in handling very challenging roles. Like her own mother, Isabelle is grateful to the woman who gave her life.
“She is always there when I need her, as every mom is, but she always knows what I need, even if I don’t ask,” said Isabelle.
“She also is one of my best friends, and having her on set is great because I can talk to her about anything,” she said.
Last summer, when not hanging at her older daughter Madeline’s rock concerts, Elina perched herself in the woods of North Carolina while Isabelle learned to become the terrifying knife assassin who nearly kills the protagonist Katniss, played by Jennifer Lawrence.
“She loves to tell people that she spent her entire summer learning how to be a badass…how to throw knives and how to fight with knives,” said Elina, who also said that Isabelle was allowed to perform her own stunts.
I asked Isabelle whether her mother’s pride in her girl’s knife-throwing skills are as good as her mother’s Kalishnikov skills.
“My knife throwing skills are pretty great!” she laughed. “I haven’t had much time to practice though since we finished filming.”
Isabelle
Fuhrman parle du chemin de sa famille jusqu'aux Hunger Games.
Il y
a bien longtemps, bien avant que les Américains ne se soit enivrés
avec les héroïnes éblouissantes du film Hunger Games, quelque part
dans une petite ville dans l'ancienne Union soviétique, à 15 ans,
Elina Fuhrman a passé un été à apprendre à monter et manier une
Kalachnikov, tout en gardant intact son maquillage.
Maintenant
c'est une journaliste de style à Los Angeles et la mère de l'étoile
montante Isabelle Fuhrman, la lanceuse de couteaux dans Hunger Games,
Elina voit des parallèles étranges entre sa vie comme une
adolescente en URSS et celle du personnage de sa fille.
Mon
été avant le lycée était étrangement similaire à ma fille sauf
qu'elle filmait un film et que moi, je vivais une vie normale, si on
peut appeler cela normal", a déclaré Fuhrman.
Regarder
sa fille jouer un rôle principal dans l'univers dystopique d'Hunger
Games est un voyage, à l'esprit d'Elina, d'une certaine façon.
L'histoire lui rappelle inévitablement son besoin de grandir vite
pour échapper à l'URSS à son adolescence pour vivre le Rêve
Amréicain.
Le
ligne du film pourrait ressembler à une histoire de science-fiction
révisionniste bolchevique. Pour la famille Fuhrman, la vérité
frappe à la maison.
"D'une
manière étrange, la prémisse d'Hunger Games me rappelle la façon
dont les choses étaient dans mon pays ... le projet des jeunes, le
pompeux du gouvernement, les défilés fastueux, les tenues, et le
désespoir derrière tout cela", a t-elle dit .
Bien
qu'elle soit une adolescente célèbre, vivant la vie d'une étoile
montante à Los Angeles, Isabelle saisit clairement l'ironie dans le
sujet.
«Ma
mère a grandi dans l'Union soviétique et n'a pas été autorisé à
faire certaines choses», dit Isabelle. "Elle a dansé quand
elle était plus jeune, même si elle voulait jouer du piano, et la
raison pour laquelle elle a dansé était parce qu'à ce moment les
enfants ont été choisis en fonction de leur talent naturel pour
apprendre un métier. Pour moi, je dût choisir, et j'adore ça. Je
suis arrivé à décider ce que je voulais faire, et ma mère a été
à mes côtés depuis. "
L'expérience
d'Elina à travers la rigidité d'éducation de l'URSS dans le
domaine des arts à peut-être été très utile lors de l'éducation
de ses filles dans le monde libre du showbiz. Comme un message de
Reagan à Gorbatchev à Berlin en 1987, elle se retrouve dire à ses
filles, «abattez ce mur», métaphoriquement.
Les
adolescentes sont connus pour créer leurs propres murs intérieurs
pour obtenir ce qu'ils veulent. Mais pas ses filles, qui connaissent
le voyage de leur mère de la Russie communiste à showbiz Américain.
Le
plus préoccupant est l'entreprise coupe-gorge d'être un enfant dans
le monde du divertissement comme les anciens enfants ont montré que
le chemin vers la célébrité peuvent laisser des cicatrices
profondes et un stress émotionnel.
«Je
me vois comme un facilitateur et un motivateur, en soutenant Isabelle
et Madeline émotionnellement et les aider à naviguer dans le monde
adulte des films pour Isabelle et de la musique pour Madeline",
a déclaré Elina.
"J'ai
eu la chance d'avoir une mère qui m'a toujours encouragé, et quand
je lui disais que je ne pouvais pas faire quelque chose, elle me
disait:« Si tu ne peux pas, alors qui le fera? "
Le
même mot d'ordre a été partagé avec Isabelle qui, disent les
critiques, a montré une grande maturité dans la gestion des rôles
très difficiles. Comme sa mère, Isabelle est reconnaissante à la
femme qui lui a donné sa vie.
«Elle
est toujours là quand j'ai besoin d'elle, comme chaque maman l'est,
mais elle sait toujours ce dont j'ai besoin, même si je ne demande
pas", a déclaré Isabelle.
«Elle
est aussi l'une de mes meilleurs amies, et l'avoir sur le plateau est
super parce que je peux lui parler de quoi que ce soit", a
t-elle dit.
L'été
dernier, quand elle n'était pas suspendu aux concerts de rock de sa
fille aînée Madeline, Elina se percha dans les bois de la Caroline
du Nord tandis qu'Isabelle apprenait à devenir une terrifiante
lanceuse de couteaux qui tue presque la protagoniste Katniss, joué
par Jennifer Lawrence.
«Elle
aime à dire aux gens qu'elle a passé l'été entier à apprendre à
être une dure à cuire ... comment lancer des couteaux et comment se
battre avec des couteaux", a déclaré Elina, qui a également
dit que Isabelle a été autorisé à effectuer ses propres cascades.
J'ai
demandé à Isabelle, sans la fierté de sa mère, si elle était
aussi bonne au lancer de couteaux que sa mère l'était au
Kalachnikov.
«Mes
compétences aux couteaux de lancer sont assez géniales!"
Rit-elle. "Je n'ai pas eu beaucoup de temps pour pratiquer
depuis que nous avons terminé le tournage."
Spanish Translation
Isabelle Fuhrman habla sobre el viaje de su familia a Los juegos del hambre.
Hace ya algún tiempo, mucho antes de que los americanos se embriagaran de la deslumbrante heroína del exitazo de la semana, Los Juegos del Hambre, en algún lugar de una ciudad pequeña de la Unión Soviética, una quinceañera Elina Fuhrman pasaba su verano aprendiendo a recopilar y manipular una Kalashnikov mientras intentaba mantener su maquillaje intacto.
Ahora un estiloso periodista en Los Ángeles y la madre de la creciente estrella Isabella Fuhrman, la lanzadora de cuchillos en Los Juegos del Hambre, Elina Fuhrman ve algunos paralelismos extraños entre su vida como adolescente en la URSS y el personaje de su hija.
“Mis veranos antes del instituto eran alguna vez como los de mi hija, excepto que ella estaba grabando una película y yo estaba viviendo una vida normal, si es que puedes llamar a eso normal, ” decía la señora Fuhrman.
Ver a su hija tomar uno de los papeles principales en el universo diatópico de Los Juegos del Hambre hace que la mente de Eline viaje de varias maneras. La historia inevitablemente le recuerda a cómo tuvo que crecer rápidamente para escapar de la URSS en sus últimos años como adolescente para vivir el sueño americano.
El contorno de la película podría sonar como una historia revisionista de ciencia ficción de Bolshevik. Para la familia Fuhrman, la verdad choca en casa.
“De una manera extraña, la premisa de Los juegos del Hambre me recuerda a cómo eran las cosas en mi país… La selección de las personas jóvenes, la ostentación del gobierno, las deslumbrantes pasarelas y trajes y la desesperación de todo lo demás,” decía.
A pesar de que sea una famosa adolescente viviendo su vida de estrella deslumbrante en LA, Isabelle claramente coge la ironía de todo esto.
“Mi madre creció en la Unión Soviética y no estuvo permitida para hacer algunas cosas, ” nos cuenta Isabelle. “Ella bailaba cuando era más joven incluso cuando tocaba el piano, y la razón por la que bailaba era porque en ese tiempo los niños eran escogidos basándose en su talento natural para aprender una habilidad. Yo podía elegir y me encanta eso. Yo escogí lo que quería hacer y mi madre ha estado ahí a mi lado desde siempre.”
La experiencia de Elinas a través de la rigidez educacional de la URSS en las artes podría haberse vuelto más cercano cuando se elevaron sus hijas en el mundo libre del espectáculo. Como el mensaje de Reagan a Gorbachev en Berlín en 1987, ella se encuentra diciéndole a sus niñas, “derribad ese muro”, metafóricamente.
Las chicas adolescentes son conocidas por crear sus propios muros internos para lograr lo que ellas quieren. Pero no sus hijas, quienes saben el viaje que hizo su madre desde la Comunidad Rusa hasta el mundo del espectáculo de América.
Más preocupante es el despiadado negocio de ser un niño en el mundo del entretenimiento, ser formado una celebridad desde niño ha enseñado que el camino de la fama puede dejar varias secuelas de profundas cicatrices y estrés emocional.
“Me veo a mi misma como facilitadora y motivadora al animar a Isabelle y a Madeline emocionalmente y al ayudarlas a navegar en el mundo adulto del cine por Isabelle y en el de la música por Madeline,” nos dijo Elina.
“Fue una suerte tener una madre que siempre me animaba y cuando iba a decirle que no podía hacer algo, ella me decía, “Si tu no puedes, ¿entonces quién podrá?”
Ese mismo lema ha sido compartido con Isabelle quien, críticamente dicho, ha mostrado una alta madurez en todos los personajes propuestos. Como su propia madre, Isabelle le está agradecida por haberle dado la vida.
“Ella está siempre ahí cuando la necesito, como todas las madres, pero ella siempre sabe lo que necesito, sin aún habérselo dicho,” dijo Isabelle. “También es una de mis mejores amigas y tenerla a ella en todos los rodajes es genial porque puedo hablar con ella sobre cualquier cosa”
El último verano, cuando no estaba en los conciertos de su hija mayor, Madeline, Elina se posaba en los bosques de Carolina del Norte mientras isabelle aprendía a convertirse en la terrible lanzadora de cuchillos asesina que casi mata a la protagonista Katniss, representada por Jennifer Lawrence.
“Le encanta decirle a la gente que estuvo todo el verano aprendiendo cómo ser una mala persona… cómo lanzar cuchillos y cómo pelear con cuchillos,” dijo Elina, quien también dijo que Isabelle tenía permitido rodar sus propias escenas de acción.
Le pregunté a Isabelle sin el orgullo de su madre que si era tan buena en tirar cuchillos como su madre lo era utilizando una Kalishnikov.
“¡Mis habilidades tirando cuchillos son muy buenas!” se ríe.“ No he tenido mucho tiempo para practicar ya que hemos terminado de rodar.”